Le 12 janvier 2010, un séisme d’une magnitude de 7,3 sur l’échelle de Richter a frappé HAÏTI détruisant la capitale PORT-AU-PRINCE. Les dégâts sont considérables, le bilan est lourd. Les infrastructures sont détruites et les morts s’entassent environ 300 milles personnes. Des êtres humains choqués ou mutilés, certains encore sous les décombres attendent avec angoisse une certaine délivrance… Comme si ce n’était pas suffisant, à cela vient s’ajouter une épidémie de choléra liée aux conditions d’hygiène déplorable. Une épidémie qui décime la population. Aujourd’hui encore HAÏTI n’arrive toujours pas à panser ses plaies. L’aide humanitaire s’avère insuffisante, AYITI ka pran fè, yo solid poutan ! À ce jour, bon nombre d’haïtiens vivent sous les tentes et de nombreux problèmes ne sont toujours pas résolus. Des cérémonies de souvenirs et de recueillement auront lieu en GUADELOUPE et en HAÏTI. « AN NOU SONJÉ AYITI » !
