Le marché de l’eau et de l’assainissement est-il exclusivement réservé aux entreprises multinationales et métropolitaines depuis plus d’une cinquantaine d’années, car les entreprises guadeloupéennes sont exclues de ces marchés.
Alors que nous recevons des communiqués et autres, quatre-vingt-dix % des réseaux sont à refaire pour palier aux problèmes qui privent les guadeloupéens du précieux liquide.
On peut alors se poser les questions : L’ensemble des travaux se font à ce jour avec seulement trois ou quatre entreprises ? Alors que font les donneurs d’ordre pour défendre les intérêts des petites entreprises ?
Après investigations, visiblement les marchés seraient faussés dès le départ par les BET (Bureaux d’Étude technique), avec des analyses d’offre très souvent faussées ou des analyses de complaisance.
Faudrait-il espérer que les donneurs d’ordre et les décideurs de ce pays ouvrent les yeux sur la façon dont les petites entreprises tirent la langue au profit des multinationales?… Les entreprises guadeloupéennes ont pourtant les outils ainsi que le savoir-faire dans ce domaine!
Nous reviendrons après enquête sur une analyse plus poussée sur les conditions d’attribution de ces marchés.