Le débat :

O LA NOU KAY !

La Guadeloupe  si décriée – au national, avec l’argent dérobé du SMGEAG , tout   comme à l’ONU,  dénonçant le scandale   de l’empoisonnement de l’eau et sa rareté dans nos robinets – devient suspecte !  « NOU WONT ».

 Dans ces lourds manquements, il y a aussi  la vie chère , cette arlésienne  des pwofitasyon et de la déraison. Et de la violence des monopoles sanmanman .  Mais encore plus insupportable, avec nos enfants aux couleurs arc-en-ciel,  qu’on ne cesse de massacrer et  dans le pays des droits de l’homme. STOP !

  Disons – le ! L’insolent succès de nos athlètes et artistes aux jeux olympiques  et l’incomparable beauté de nos miss et la réussite en matière de recherche de nos universitaires , nous rendant si fiers, ne peuvent  être l’arbre qui cache cette insupportable misère des incompétences  dans le  management de ceux qui  pèsent sur notre destinée.

 Certes , c’est le monde qui est en crise et le climat qui ne sait pas encore lire, ajoute aux inquiétudes. Au moment où la France montre sa fragilité  et sa difficulté à se retrouver, mais aussi à réussir  autour  d’un gouvernement  d’unité nationale, il est regrettable qu’ au-delà des ambitions des partis et des leaderships , « pou sové péyi-la »,  l’idée d’intérêt général s’étiole.  C’est du retenez – moi ou je fais un malheur.  

 Mais dans cette difficulté à faire peuple et nation, c’est tout aussi vrai pour nos syndicats qui, hélas, emploient  l’arme de la grève  d’une manière trop radicale. Le seul moyen de lutte,   disent – ils, pour faire aboutir la défense de leur intérêt matériel « jugé » prioritaire !

  La souffrance,  et de tous,  serait – elle rédemptrice ?  Si le conflit est inévitable et même souhaitable pour éviter les abus, nous ne cessons de le dire : la grève ne peut être que le dernier recours. Elle doit être la plus courte possible.  C’est là que résident l’intelligence et la maturité du dialogue social. Et l’amour de son peuple ! Il y a la légalité, il y a aussi l’empathie et la conscience.

Et devant tant d’agressions coalisées, on ne peut, dans la circonstance, que féliciter nos députés , qui  sans pour autant faillir à leur devoir en tant que député de « tout » l’archipel France, aient alerté le 1er ministre sur l’immensité de nos retards spécifiques, devenant prioritaires . Car nos attentes, parce que urgentes , sont devenues  impératives.

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