Ces  pièges des « Unions » !

 Aujourd’hui, une famille sur quatre est monoparentale, souvent à la suite d’une séparation, alors qu’elles représentaient moins de 10 % des familles dans les années 1970.Un foyer sur quatre compte un seul parent, une femme en général, soit deux fois plus qu’il y a trente ans. Ces mères surtout chez nous, cumulent les difficultés. Même si leur solitude suscite enfin une timide prise de conscience de l’Etat.

 Chez nous, c’est toujours pire !

Les derniers chiffres disponibles, détaillés dans l’étude « Couples – Familles – Ménages en 2018 », publiée en juin 2021 par l’Insee, révélaient que 42,4 % des familles martiniquaises et 41,5 % des familles guadeloupéennes étaient monoparentales. Avec une tendance à la hausse dans les deux départements : respectivement + 3 et + 5 points en Martinique et en Guadeloupe en dix ans. Plus récemment, le deuxième volet de l’enquête « Migrations, famille, vieillissement », menée par l’Institut national d’études démographiques et publiée en juin 2023, soulignait que 60 % des enfants guadeloupéens et martiniquais nés entre 2005 et 2009 « auront connu au moins une période durable de monoparentalité » !

 Evolution sociétale ?

Il n’existe pas, il est vrai,  de définition harmonisée de ce qu’est une « famille monoparentale ». Un flou qui se retrouve dans l’instabilité du champ lexical : on parle ici de « parent isolé », de « mère célibataire » ou de « maman solo » : dans 82 % des cas, les femmes élèvent seules les enfants. Mais il y a aussi des pères, dont nos tribunaux mènent la vie dure, alors qu’ils sont  parfois  battus , cocufiés me souffle t- on, ( mais le dernier à la savoir) et sont loin d’être toujours et entièrement  fautifs ! Et que la garde des enfants souvent jeunes , sont confiées à leur maman.

Joindre les deux bout

Joindre les deux bouts de ces « femmes de courage », comme les désigna le président de la République, Emmanuel Macron,  avec la délinquance de plus en plus juvénile prenant de l’ampleur  occupe  le devant de la scène médiatique et encore davantage politique. Chacun ayant une recette (comme dab) pour contredire son opposant !  L’intérêt de la société et surtout celui de l’enfant, avec  des parents visiblement dépassés , est- ce,  de les punir ou de les aider davantage ?

Terrible constat !

 L’aviez -vous remarqué. Un grand nombre de jeunes qui  sont de bons clients pour des émeutes sociales sont souvent  issus de famillesmonoparentales. Ce sont des vies comme un futur, à jamais gâchées.   Mais de plus, surtout pour la drogue et pour assouvir une frustration,  ils s’entretuent.

 Réjouissons – nous, que ces  derniers mois, plusieurs maires,  parlementaires et même des ministres, se sont intéressés au sort de ces familles. Un rapport de la délégation aux droits des femmes au Sénat, publié le 28 mars, a ainsi proposé la mise en place d’une carte de famille monoparentale qui permettrait d’accéder à un certain nombre de prestations et de services à des tarifs préférentiels, pour la cantine scolaire ou les transports publics, par exemple.

 Mais quid d’une  proposition de loi qui  pourrait prévoir effectivement la création d’un statut de parent isolé, ouvrant des droits en matière d’accès au logement ou aux modes de garde, ou la défiscalisation de la pension alimentaire pour le parent qui la perçoit.  

A la croisée des difficultés

 Mais qu’en  est- il de ces difficultés  sur le plan matériel et financier. Et  qu’il faut de la « tune » , pour faire face à l’éducation des enfants, et rembourser les dettes , et plus graves des prêts  immobiliers. La situation des familles monoparentales est à la croisée des sphères de l’intime, de l’emploi et des inégalités de genre.  Combien sont – elles , ces divorcées n’imaginant  pas une réaction si agressive et revancharde  de leur mari. Après des mois de cohabitation houleuse, les  laissant s’occuper seules de leurs garçons et filles.  Et plus dure encore, quand le conjoint ( ou la conjointe)  laisse des dettes.  Combien de demande de logement social déposé,  quand le, la  « revanchard  a exigé de mettre en vente leur appartement.

  L’éducation des gosses !

  Et qu’en est – il , pour celui qui a la garde des gosses, pour les faire garder, il faut payer une nounou. Et   quand le  planning  du travail l’oblige aux horaires décalés !  Là c’est la galère quand on finit à des heures tardives ( super – marché – aidants familiaux…! ! vivre sans modération, sa nouvelle liberté.  Est- ce  la porte ouverte à toutes les tentations et dérives  d’un enfant livré aux  autres, aux démons de la rue, et à ces « trucs » sur internet ! :

Jongler  avec les plannings et les pensions, avoue – le, ce n’est pas chrétien. Pour ces familles devenus désormais monoparentale.   D’où tant de démissions envers ceux qui doivent être protégés. Amours piégés dites – vous ! 

Vos enfants ne sont pas vos enfants..Ils viennent par vous, mais ne sont pas de vous.Ils sont avec vous mais n’appartiennent qu’à eux-mêmes. Offrez un logis à leur corps, mais pas à leur âme,Car leur âme loge dans la maison de demain . Que votre courbure aux mains de l’Archer se fasse dans la joie. Car s’Il aime la flèche qui s’envole,
Sachez qu’Il aime aussi l’arc qui est stable Mais ne cherchez pas à ce qu’ils vous ressemblent. Car la vie ne va pas à reculons, ni ne s’attarde sur hier.( Kali hl GIBRAN).

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