Le débat ! Gratuité – Bas prix.

Qualité- Médiocrité?Le triomphe de la décadence compétitive.

Science sans conscience serait – ce que ruine  et pas seulement de notre âme La  qualité n’est pas la gratuité !   

La gratuité rythme souvent avec une qualité douteuse.

Et d’une situation d’ indigence pour certains consommateurs. Et  souvent avec le surplus des invendus,. Périmés ou  retrouvés dans les poubelles des rebus des grandes surfaces et autres monopole de la grande distribution . 

 La gratuité a un prix, notre santé !.  Sa ki bon maché pé kouté chè La qualité ,  s’entend comme  cequi rend quelque chose supérieur à la moyenne.  Il y va de soi que tout le monde préfère  la qualité à la quantité.  Mais hélas, c’est souvent une affaire pécuniaire.  Car la qualité a un coût. Et un savoir.

Au sens large, la qualité est la « manière d’être », bonne ou mauvaise, d’une chose , voire d’un scribe. Ou  d’autres personnes. Dans le langage courant, la qualité tend à désigner ce qui rend quelque chose supérieur à la moyenne.

Médiocre, bon ou excellent ?

 La qualité est également une discipline à part entière. L’ISO 9000, la norme de référence du vocabulaire qualité des systèmes de management de la qualité la définit ainsi comme l’« aptitude d’un ensemble de caractéristiques intrinsèques d’un objet (produit, service,…) à satisfaire des exigences ». Dans ce contexte, le terme «qualité» peut être quelquefois utilisé avec des qualificatifs tels que médiocre, bon ou excellent.

Retenons chers lecteurs que la qualité n’est pas que la pub ! Elle se définit également comme le bien ou le service qui convient bien.

L’être et (ou) l’avoir

Le mot « qualité » vient du latin qualitas qui signifie « manière d’être ». Qualitas est un terme créé par Cicéron . La qualité est souvent opposée à la quantité.  On peut aimer comme vous en qualité et aussi en quantité. 

Au niveau dialectique, la quantité et la qualité ne s’opposent donc pas forcément et, selon Hegel, il existe des passages incessants de la quantité à la qualité et de celle-ci à celle-là.  Il n’ y a pas là, forcément une contradiction , ni un scandale ,  de consommer de la banane , de la mangue, votre hebdomadaire( 2 euros) ,  en quantité, qualité et en prix ! Et d’autant que c’est bon pour la santé ! 

La qualité pourrait décrire aussi bien  un produit tel que le Rhum .  Le vin, et ses composants chimiques et le goût évaluable subjectivement qui en résulte, ainsi que les processus de fabrication, de maturation comme de notre rhum . 

 Qualité –  Médiocrité !

Médiocrité :    État de ce qui est médiocre . 

 De ce qui n’est pas très bon, qui est ordinaire, inférieur à la moyenne comme nos routes, la gestion de l’eau, des affaires publiques et du dialogue social.  C’est l’insuffisance de qualité, comme  de même , notre système de santé, de  nos infrastructure sportives, de nos écoles,  de nos logements sociaux. Et de la médiacratie sous tutelles.  Et quid de ces produits de la malbouffe promotionnés sur nos écran et nos routes ? ! 

  La médiocrité , c’est aussi  une  imperfection,  une pauvreté, une petitesse de ceux qui  mal intentionnés, pour nuire, disqualifier,  jouent aux journalistes sur  les réseaux sociaux et souvent dans l’anonymat et sans vérification des sources .

 Sommes – nous entrés dans une ère de la décadence compétitive ?   Celle  donc des délations et du productivisme sans âme et san manman. Et tant pis pour l’humain ! Et les plus vulnérables ! 

 DURIZOT JOCELYN 

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