Comme de nombreux monuments à travers la France, l’Hôtel de Ville du chef lieu est resté illuminé durant tout le week-end dernier aux couleurs de la jounrée internationale des maladies rares, fixée le 28 février.
C’est la première fois que la municipalité participe à cet événement grand public dont c’était cette année la 14è édition. L’équipe municipale a voulu marquer sa solidarité avec les victimes concernées par ces maladies qui n’épargnent pas les guadeloupéens.
En raison de la crise sanitaire, la campagne d’information liée à cette journée annuelle s’est exceptionnellement cette année déroulée de façon digitale. Mais quelques villes dont celle de Basse-Terre ont tenu à manifester leur solidarité par des actions plus spectaculaires.
Une maladie est dite “rare” lorsqu’elle touche moins d’une personne sur 2 000, ce qui représente moins de 30 000 individus par pathologie pour la France où plus de 6 à 8 000 maladies rares ont été identifiées (dont 80% d’origine génétique) et plus de 3 millions de malades sont recensés (soit 4,5 % de lapopulation). En Guadeloupe, la drépanocytose est la maladie rare la plus répandue.